Jour 5 : Etosha, de Halali à Okaukuejo

 

Zèbre de Burchell
Zèbre de Burchell

 

Nous avions bien envie de vérifier si le matin de bonne heure, il y avait davantage d'animaux. Avec mon mari, nous sommes allés une première fois au trou d'eau d'Halali à 6h00 : rien !

Nous sommes retournés au bungalow retrouver notre cadette pour aller déjeuner à 6h30 ; l'ainée avait décidé de rester dormir !

Petit déjeuner moyen, heureusement sauvé par la dextérité du cuisinier réalisant de main de maître des omelettes délicieuses et originales sur sa plancha.

Dès l'ouverture des portes, nous sommes partis faire le Rhino Drive au Sud d'Halali. Et bien à part un rhino s'enfonçant dans les buissons et quelques zèbres et girafes, pas grand chose en vue.

Ne voulant pas lâcher l'affaire, nous sommes retournés au trou d'eau d'Halali une quatrième fois et bien ...  rien, pas le moindre animal !

 

Il était temps de partir vers Okaukuejo avec quelques trous d'eau à voir.

Dans les premiers, nous avons vu principalement des autruches, des gnous et des zèbres.

 

Gnou bleu ... drôle de nom quand même !
Gnou bleu ... drôle de nom quand même !

 

Les trous d'eau de Homob et d'Aus ont été les plus intéressants avec des oryx et grands koudous.

 

Oryx au trou d'Homob
Oryx au trou d'Homob
Grand koudous au trou d'Aus
Grand koudous au trou d'Aus

 

Au niveau d'Olifantsbad, nous avons fait une petite pause toilettes et grignotage dans un nouvel enclos. Celui-ci était plus agréable avec des toilettes sèches impeccables et des tables à l'ombre.  Nous avons grignoté en admirant un calao à bec jaune.

 

Calao à bec jaune
Calao à bec jaune

 

Puis, le trou d'eau de Nebrownii nous a occupés pratiquement une heure. A notre arrivée, un gros éléphant s'en approchait. Cela a eu pour effet de faire partir tous les zèbres et springboks.

Il a commencé par boire et a ensuite méthodiquement remué le fond de l'eau pour faire une bonne petite boue et s'en asperger tout le corps. De temps en temps, un zèbre téméraire faisait une tentative pour s'approcher du trou. Très drôle à voir !

 

Et pendant ce temps là, un bateleur adulte et un juvénile se désaltéraient tranquillement un peu plus loin.

 

 

Avant de sortir du parc, nous nous sommes arrêtés à Okaukuejo pour faire le plein et manger un gâteau (très moyen)  au snack proche de la piscine. Puis juste avant la porte Anderson, arrêt au trou d'eau d'Ombika où nous attendait notre dernier rhinocéros noir .

 

Trou d'eau d'Ombika
Trou d'eau d'Ombika

 

Au moment de faire les réservations en octobre, il n'y avait déjà plus de place au camp d'Okaukuejo .

En fait, il faut réserver plus d'un an à l'avance pour être tranquille !

L'agence Tourmaline, nous a donc trouvé un logement au Mondjila Camp à une trentaine de kilomètres au sud de la porte Anderson. Moins cher que dans le parc mais pas de point d'eau éclairé la nuit .

Cela étant dit vu la qualité des prestations à Halali, nous n'avons pas vraiment regretté d'être sortis du parc.

Nous devions initialement dormir dans des tentes de type Meru, posées sur un plancher en dur et avec une salle d'eau. Finalement, on nous a donné une immense chambre dans une petite maison. Tant pis pour le côté Indiana Jones mais c'était plus confortable .

Pour tondre le gazon, le camp peut compter sur trois jardiniers très efficaces et mignons qui travaillent du lever du jour à la nuit tombée : en voila un sur la photo suivante !

 

Un des trois jardiniers !
Un des trois jardiniers !